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Il vaut mieux prévenir que guérir

Les épidémiologistes avertissent déjà depuis de nombreuses années du risque croissant de maladies passant de l’animal à l’homme. Des projets concrets pour un système pouvant détecter les pandémies sont déjà prêts depuis longtemps. Les connaissances permettant de développer des vaccins universels sont présentes. Mais personne n’a trouvé nécessaire d’y investir d’un à quatre milliards de dollars.

L’épidémie d’Ébola et du sras qui ont coûté au monde respectivement dix et quinze milliards de dollars en ont été la conséquence. Ajoutez à cela le prix de revient de la lutte contre le Covid-19 et l’énorme préjudice économique, dans le cadre duquel ce sont une nouvelle fois les plus faibles qui sont touchés le plus durement. Quatre milliards de dollars est un montant dérisoire comparé à cela. La question de savoir pourquoi les épidémiologistes n’ont pas trouvé d’argent pour leurs projets devient gênante.

Yes we can

Il y a également de bonnes nouvelles. Moins d’un an après que le patron de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a qualifié l’épidémie de Covid-19 de pandémie, la vaccination bat son plein. Normalement, rien que le développement d’un nouveau vaccin prend près de dix ans !

L’ancien président Obama avait raison. Yes we can. Quand nous le voulons, nous pouvons déplacer des montagnes. Une fois que cette crise du coronavirus se sera calmée prochainement, attaquons nous immédiatement à d’autres problèmes avec la même volonté.

Le réchauffement de la terre, la violation des droits humains, la problématique nord-sud, la guerre : à l’instar du Covid-19, les problèmes qui requièrent une approche internationale ne manquent pas. Mais il y a également du pain sur la planche dans notre propre pays : la pauvreté, le nombre élevé de suicides, le patrimoine qui risque d’être perdu, un secteur culturel qui a été durement touché par le coronavirus, les maladies qui ne sont pas “intéressantes” pour les entreprises pharmaceutiques, les listes d’attente, etc.

Eh oui, qu’attendons-nous ? Que le prix de revient pour rectifier les choses prenne à nouveau des proportions astronomiques ? Ou qu’il soit trop tard ?

Regarder vers l’avenir

Comment pouvons-nous éviter que la vision à court terme domine les agissements de l’humanité ? Comment pouvons-nous faire en sorte que ce ne soit pas seulement les intérêts économiques d’un petit groupe de super-riches qui déterminent l’ordre du jour– sous le couvert de l’urgence et de la nécessité ?

Optez avec nous pour une autre voie. Les bonnes causes regardent par définition plus loin que le baromètre économique. Elles mettent en général le doigt sur une plaie de la société. Elles demandent de l’argent, non seulement pour panser la plaie, mais également pour prévenir l’infection. Pour empêcher le pire. Pour emprunter de nouvelles voies. Renforcez leur voix dans le débat sociétal. Donnez leur les moyens d’anticiper les étapes nécessaires.

Vous pouvez faire la différence dans ce cadre.

Intégrez une bonne cause dans votre testament et investissez dans une cause qui vous tient à cœur : la lutte contre une maladie incurable, le bien-être animal, la culture, la solidarité avec les personnes en situation de pauvreté, le soutien au tiers monde, les aveugles, les personnes handicapées, le patrimoine, la recherche scientifique …

Sur le site Web de testament.be, vous trouvez plus de cent bonnes causes.

Sélectionnez-en une (ou plusieurs) pour qu’elle devienne votre héritier. Vous ferez ainsi de votre héritage un investissement dans la prévention. Et il vaut mieux prévenir que guérir.